Qu’il soit prévu par la législation fiscale ou pas, l’assurance vie est une technique légale permettant de payer moins les impôts. C’est un produit d’épargne qui est indispensable à un individu qui décide de mettre son argent de côté dans des différentes institutions. Mais comment cela fonctionne ? Cet article vous permettra d’élucider cette question.
Les principes de bases et comment alimenter un contrat d’assurance vie.
L’assuré n’est pas nécessairement le souscripteur. Il est faisable de souscrire ou d’ouvrir un compte d’assurance vie à une autre personne. Plusieurs supports s’offrent à vous lorsque vous décidez de souscrire à un contrat d’Assurance vie en euros. Leurs critères se diffèrent par leurs rentabilités et leurs niveaux de risque. Quand vous choisissez le fond en euro, son principal avantage est de garantir le capital. Concernant sa rentabilité cela a diminué et est à la barre de 2% en l’an 2016. Mais lorsque vous choisissez un fond mixte ou un fond en unité de compte, vous avez une meilleure rentabilité.
Concernant vos versements, ils peuvent être mensuels, libre ou même unique. Tout dépend de ce que vous avez convenu avec votre assureur. De plus vous êtes libre de faire des versements complémentaires lorsque vous le décidez. Mais avant tout vous devez vérifier si votre contrat vous permet de faire des versements minimums. Vous avez le choix de retirer le total ou une partie de votre argent tout en permettant au reste de produire des intérêts. Lorsque vous souscrivez à l’assurance vie et que vous êtes en retraite, vous percevez des compléments de revenus chaque mois.
La fiscalité : avantageuse avec le temps
Les intérêts générés par votre contrat vous sont imposables lorsque vous effectuez des retraits totaux. Mais lorsque le taux de prélèvement est inférieur au taux marginal d’imposition, la meilleure des choses à faire est d’opter pour l’impôt sur le revenu. Dans le cas contraire vous optez pour le prélèvement forfaitaire libératoire. Aussi longtemps que vous attendez après l’ouverture de votre compte pour faire un retrait, votre fiscalité sera de plus en plus avantageuse. Ainsi donc, le prélèvement forfaitaire libératoire est de 35% avant tout retrait pendant 4ans. Il est de 15% entre 4 et 8 ans et 7,5 % après 8ans. Sachez tout simplement qu’après votre huitième année de contrat, il est possible que vous soyez déchargés des obligations qui vous lient au paiement d’impôt mais dans les limites bien précises.